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    https://www.clubic.com/internet/actua...t-ou-plus-de-27-ans-dans-sa-vie-.html
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    https://www.verdict.co.uk/metaverse-gaming-technology-virtual-world
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  3. c’est aussi la preuve que bosser de la maison engendre des dégâts considérables sur notre santé mentale. “Nos journées de travail durent plus longtemps parce qu’il n’y a pas de séparation claire du moment où nous devons nous arrêter”, analyse-t-elle auprès de Glamour US. Et ce n’est pas sain. “Le détachement émotionnel du travail est extrêmement important pour la satisfaction professionnelle. Mais le rituel de fin de journée a disparu dans l’environnement virtuel.”


    En procrastinant notre heure de coucher de la sorte, on se venge de ne pas avoir pu s’accorder de réels moments de détente plus tôt, et on essaie frénétiquement de les rattraper. Et puis, on recherche aussi un lien social essentiel, largement réduit avec la pandémie. Une façon de respirer, donc, qui n’est cependant pas sans conséquence.

    ***

    Le problème avec cette habitude devenue commune, c’est qu’elle a tendance à être contre-productive. Plutôt que de nous changer les idées pour mieux nous relaxer d’un stress ambiant, elle finit par l’augmenter. “Nous savons que le simple fait de scroller sans réfléchir et de ne pas interagir de manière significative augmente notre stress au lieu de l’atténuer”, rappelle ainsi Vaile Wright, directeur de l’innovation en matière de soins de santé à l’American Psychological Association.

    ***

    en essayant de déplacer cette pause privilégiée - mais nocive - à plus tôt dans la journée. A la pause-déjeuner, par exemple, ou en pleine après-midi. 15, 20, 30 minutes rien qu'à soi qui éviteront d'attendre le dernier moment pour en profiter. On les passe à aller se promener, à téléphoner à un·e ami·e pour se confier, à lire, à manger, à écouter un podcast qui nous donne l'impression de s'évader.
    https://www.terrafemina.com/article/s...ation-vengeresse-du-coucher_a357315/1
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  4. -
    https://www.newsweek.com/aclu-counsel...cebook-after-trump-suspension-1560248
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  5. Le succès de Thinkerview est intéressant parce qu’il vient affronter directement la représentation commune d’un « média Internet » aujourd’hui. A l’ère des vidéos courtes façon Brut et Konbini, de la course à l’audience d’un Melty, et de la « production de contenus » orientée « junk news (pratiquée par toujours plus de magazines en ligne), nous voici en présence d’un média gratuit qui a fait le choix du très long format, dédié à l’analyse, sur des sujets parfois arides…et qui cartonne.

    Diantre ! Nous aurait-on menti ? Le web ne serait donc pas forcément synonyme de buzz, formats courts, instantanéité ? Les sujets de fond, la réflexion, le temps long ne serait donc pas la chasse gardée des médias traditionnels (et/ou payants) ? Thinkerview force à revoir certaines représentations parfois solidement ancrées. Oui, les internautes – ou du moins certains – sont bel et bien capables de rester attentifs, et même captivés, sur un même contenu pendant 1h, 2h, et même plus… :

    ***

    « Quand il n’y avait pas Internet, tout le monde s’informait avec le 20h de TF1 et/ou quelques journaux, radios et magazines. L’info était biaisée mais on le ressentait peu. Il y avait des référentiels communs de discussion.

    C’était une société au mieux de sous-information, au pire de facile manipulation, où discuter d’un sujet entre nous était possible parce qu’on avait tous à peu près les mêmes bases factuelles (biaisées, mais les mêmes). Ce n’est plus le cas. Aujourd’hui, ce qui passe à 15h23 sur BFMTV est contredit à 15h24 sur Facebook, l’édito de RTL de 8h01 est en décalage avec ce qui se dit sur Twitter depuis 7h43, la dépêche AFP de 9h12 est nuancée par un Checknews de 17h35…

    ***

    Les ilots informationnels et les bulles de pensée ne sont certes pas des nouveautés – comme le dit un internaute, par le passé « celui qui lisait l’Huma n’avait déjà » pas la même lecture de l’actualité que le lecteur du Figaro » – mais « c’est la vitesse et la capacité à trouver en ligne des clubs d’opinions semblables » qui changent aujourd’hui la donne.
    https://signauxfaibles.co/2019/08/28/...nkerview-prefigure-lavenir-des-medias
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    https://theconversation.com/reseaux-s...i-les-ados-vont-ils-sur-tiktok-150491
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